A propos du livre : 1994 / Parmi les nombreuses pages consacrées à l'époque de Napoléon, "Joséphine" d'André Castelo est sans aucun doute un phénomène remarquable. Après avoir étudié avec diligence les travaux des scientifiques, les mémoires et les lettres des contemporains et sans s'écarter des faits historiques, André Castelo parle de manière fascinante et à bien des égards d'une manière nouvelle du sort de « l'incomparable Joséphine », « la première dame de l'Empire ». » Le récit de la première partie de « Joséphine » (1964) – « Vicomtesse, citoyenne, dame du général » – commence à l’époque « où Joséphine s’appelait Rose » : l’histoire n’avait pas encore deviné qu’elle deviendrait impératrice. On y apprend l'histoire du « sans-culotte et du Montagnard », la « joyeuse veuve » qui deviendra Madame Bonaparte, de Joséphine la consule, devant laquelle s'ouvre la route du trône. Le destin étonnant et unique de la brillante et incomparable Joséphine ! Une créole gracieuse au charme inexprimable, souple et charmante, au teint mat, aux yeux merveilleux, à la voix mélodique insinuante... Charmante Joséphine, qui tournait la tête des hommes et se laissait elle-même facilement emporter, douce et frivole, dévouée et coquette. , réfléchi et passionné. Joséphine, encline aux « zigzags d’amour », tissés « de dentelles et de gazes », c’est au début du livre une créole antillaise inconnue, Cendrillon, qui n’est pas encore devenue reine du bal. A venir un mariage malheureux avec Alexandre de Beauharnais, la naissance d'enfants - Eugénia et Hortense, une rencontre avec Napoléon Bonaparte, qui l'aimera passionnément et lui offrira l'Empire en cadeau, puis se séparera d'elle, et - qui sait ? - ne perdra-t-il pas alors la bonne étoile qui lui a porté chance ?.