À propos du livre : 1994 / André Castelo a intitulé la deuxième partie du livre sur Joséphine "Impératrice, Reine, Duchesse". Cette période de sa vie commence par un moment heureux : Joséphine reçoit l'Empire en cadeau. Mais très vite, il s'avère que « le trône rend malheureux » : Napoléon rompt avec celle sans laquelle il ne pouvait pas vivre un seul jour, la brillante impératrice sera appelée « pauvre Joséphine !.. ». Tel est le sort d’une femme, « belle dans la joie et dans la tristesse ». C’est au lecteur de juger si ce sort a été heureux ou non. D’après les lettres de Napoléon à Joséphine : « Je n’ai jamais eu un jour sans penser à toi. Il n’y a pas eu une nuit où je ne t’ai pas tenu dans mes bras. Je n'ai jamais bu de thé sans maudire la renommée et l'ambition qui me condamnaient à la séparation d'avec la dame de ma vie. Au cœur des choses, à la tête des troupes, dans le camp, partout ma charmante Joséphine seule règne dans mon cœur, occupe mon esprit, absorbe mes pensées." "...Des milliers, des milliers de baisers, aussi tendres que mes mon amour !" "...Là où ma Joséphine est à côté de moi, je ne vois plus rien de Joséphine : "Et pourtant, Dieu sait, je l'aime plus que la vie..." Napoléon à propos de Joséphine : « Je n’ai jamais autant aimé une seule femme.»